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The Umbrellas of Cherbourg (1964) The Umbrellas of Cherbourg is a renowned al film directed by Jacques Demy, released in

The Umbrellas of Cherbourg (1964)

The Umbrellas of Cherbourg is a renowned musical film directed by Jacques Demy, released in 1964. Set in the colorful coastal town of Cherbourg, the movie tells a captivating love story through the impeccable melodies of Michel Legrand. This masterpiece follows the lives of two young lovers, Geneviève and Guy, portrayed by Catherine Deneuve and Nino Castelnuovo, respectively. The film beautifully captures their passionate romance and the challenges they face when circumstances force them apart.

The enchanting music composed by Michel Legrand plays a vital role in enhancing the emotional impact of the story. From the iconic opening theme to the heartrending love ballads, the soundtrack perfectly complements the vivid cinematography and costume design, creating a visually and audibly stunning experience.

If you are captivated by the sounds of The Umbrellas of Cherbourg (1964), you can play and download the remarkable soundtrack here, immersing yourself in the timeless melodies that accompanied this unforgettable movie.

A 8h, devant le théâtre.
A tout instant, c'est elle que je vois.
Acceptez, je vous en prie.
Adieu, mon petit.
Ah, le petit con,
Aie confiance, tu verras.
Aie confiance, tu verras.
Alors, j'ai quitté la France.
Alors, le mariage, on en reparlera plus tard.
Amoureuse d'un visage.
Attention, elle est encore pleine d'épingles.
Au magasin ?
Au mieux, je puis mettre votre collier en vente
Au revoir, Madeleine.
Autrefois.
Avant de partir,
Avec ce qui se passe en Algérie en ce moment,
Avec la mine que tu as, enceinte.
Avec une autre.
Bonsoir, madame.
C'est à l'hôpital que j'ai le plus souffert.
C'est amusant, je crois que j'ai trop bu.
C'est fou ce que tu es grosse.
C'est inextricable.
C'est la mort dans l'âme
C'est la première fois que je reviens à Cherbourg.
C'est parce que tu restes seule.
C'est qu'il n'éprouve pas pour moi des sentiments profonds.
C'est tout ce qui me reste de lui.
C'est un crime, non jamais, je ne m'en séparerai.
C'est une brassière
C'était fréquent.
Car je n'ai pas, le moins du monde,
Ce bracelet ?
Ce magasin, sinistre.
Ce matin, j'ai reçu cette feuille de route
Ce n'est pas lui qui paiera mes impôts.
Ce n'est pas moi qui aurai la fève.
Cela m'aurait ennuyée de ne pas te revoir.
Cela ne doit pas être bien grave.
Ces temps derniers.
Cet après midi, nous irons chez M. Dubourg.
Cette nuit.
Chez ma belle mère en Anjou.
Combien je suis bête quand je suis toute seule.
Crissement de pneus
Crois tu qu'il me prendra comme ça ?
Crois tu que Cassard aura envie de m'épouser
D'abord, a t il un métier ?
D'ailleurs, M. Cassard ne tardera pas
D'être heureux avec une femme,
D'être toute nue.
D'influencer Geneviève.
Dans cet appartement.
Dans un endroit dangereux, où il risque sa vie.
Dans une vie que nous aurions choisie
De faire face à mes ennuis, à mes dettes.
De l'enfant qu'elle attendait, sais tu quelque chose ?
De la Belle au bois dormant.
De la Mercedes de monsieur.
De lui avouer la vérité.
De quoi vivrons nous ?
De rendre heureux.
De vous rendre visite.
Déçu, j'ai voulu l'oublier.
Depuis cette rencontre, ma vie a pris un autre sens.
Depuis hier, je n'ai plus un sou en caisse.
Depuis mon mariage.
Donne moi donc un peu de tisane.
Donne moi une pipe.
Dont les conséquences risquent de nous compromettre.
Ecris moi de temps en temps.
Eh bien, vois tu, je suis certaine qu'il pourrait te conseiller.
Eh bien, vois tu, je suis certaine qu'il pourrait te conseiller.
Elle a beaucoup de toi.
Elle a été très bonne pour moi.
Elle est affreuse !
Elle est si fragile que le moindre faux pas
Elle est un peu pâlotte.
Elle m'a évidemment traitée de folle.
Elle m'a regardée d'une drôle de façon.
Elle m'écrivait sans conviction.
Elle n'est pas en cause.
Elle ne m'a parlé de vous qu'en termes amicaux.
Elle ne m'aimait pas.
Elle ne répondait plus à mes questions.
Elle s'ennuie.
Elle sait très bien que Cécile a horreur du théâtre.
Enlève ça, tu vois bien que tu me gênes.
Ensemble.
Ensuite, je passerai chez le coiffeur.
Es tu bien sûre de tes sentiments ?
Es tu sûr de m'aimer vraiment ?
Est ce qu'il peut te faire vivre, élever des enfants ?
Est ce qu'on pense au mariage à 17 ans ?
Est ce qu'on pense au mariage à ton âge ?
Est ce que tu ne penses plus à Geneviève ?
Est devenue une bien jolie jeune fille.
Est libre.
Est tombée dans une embuscade.
Et aussi quelques prospectus.
Et c'est à toi que je le dois.
Et comme je mens très mal... C'est toi qui le dis.
Et croyez que je ne manquerai pas
Et dans deux ans, tu auras peut être oublié Guy,
Et encore, à une somme bien inférieure à sa valeur réelle.
Et Geneviève, qui est la sagesse et la raison même,
Et j'ai peur de la voir sombrer dans la neurasthénie.
Et j'ai souffert, tu devrais m'écouter.
Et j'ai vu de jolies barboteuses aux Nouvelles Galeries.
Et j'aimerais que tu assistes à cet entretien.
Et j'avoue ne pas être toujours très adroite, compréhensive.
Et je dois partir pour deux ans.
Et je pense...
Et je retapissais le magasin.
Et je serai bien sotte de le repousser.
Et je suis passé à la station.
Et je viens vers vous comme on vient au Messie.
Et les sentiments qui m'animent
Et Madeleine ?
Et mes lettres sans réponse.
Et ne plus penser à cette histoire.
Et puis, ce soir, elle m'a interdit de te voir.
Et puis, il y a eu l'hôpital.
Et puis, le hasard,
Et puis, non, pas des parapluies. Nous vendrons le magasin.
Et puis, tu es triste et amer.
Et quand je pense à lui, c'est cette photo que je vois.
Et toi un mari.
Et toi, est ce que tu es heureuse ?
Et tu n'es pas non plus sotte, seulement, tu as le temps.
Et tu pourrais te raser avant de venir.
Et viens me parler.
Et, en même temps, ça me fait peur. Je te fais peur ?
Evidemment, un bijou, ce n'est qu'un bijou.
Faire sur elle la moindre pression.
François, viens mettre ton manteau.
François.
Geneviève décidera elle même.
Geneviève est encore pour moi une enfant.
Geneviève est grande et m'aide de son mieux.
Geneviève me donnera elle même sa réponse.
Geneviève ne veut pas partir seule
Geneviève serait heureuse de vous voir.
Geneviève.
Geneviève.
Guy et moi, nous travaillerons, nous pourrons t'aider.
Ici, le temps me paraît long.
Ici, rien n'a changé.
Il a d'ailleurs regretté ton absence.
Il a fallu ce hasard.
Il demande si tu as réfléchi.
Il en parle depuis huit jours.
Il est importable.
Il est joli, cet arbre, c'est toi qui l'as décoré ?
Il est joli, cet arbre, c'est toi qui l'as décoré ?
Il est très beau.
Il fait froid.
Il fait un froid de chien.
Il faut essayer d'être heureux.
Il faut me croire, il faut te calmer.
Il faut que nous gardions de nos derniers moments
Il faut te distraire, sortir, vivre un peu, en somme.
Il m'a raconté 100 000 choses, je l'ai invité à dîner.
Il me semble que Guy est parti depuis des années.
Il n'a que moi et tu verras,
Il n'avait plus une goutte d'huile. Et alors ?
Il ne m'a écrit qu'une fois.
Il rentrait des Etats Unis, quel type !
Il s'en va, il part pour deux ans.
Il sera notre enfant.
Il va falloir le recevoir, il va falloir faire bonne figure.
Il vit avec sa marraine.
Il y a de l'eau dans la bouilloire.
Il y a si longtemps
Il y a toujours eu des filles dans la famille.
J'ai aimé une femme.
J'ai bafouillé, j'ai rougi,
J'ai été chercher la petite
J'ai eu si peur.
J'ai l'impression d'avoir un baromètre dans le genou,
J'ai su que je l'attendais.
J'ai toujours peur de la blesser.
J'ai tout de suite parlé d'autre chose.
J'ai trop de peine.
J'ai trouvé pour toi un joli cadeau de Noël.
J'ai voulu
J'aime mieux le ciné. Tu l'as déjà dit.
J'aime mieux partir n'importe où, ne plus revoir maman,
J'aime mieux partir vite.
J'allais rentrer à Paris.
J'aurais l'impression de me dépouiller.
J'aurais voulu... Elle est sortie.
J'y suis toujours.
Je crois qu'elle se doute de quelque chose.
Je crois qu'ils sont à Paris.
Je déteste le carnaval.
Je devrais me maquiller, tu ne trouves pas ?
Je l'achète.
Je me porte comme un charme.
Je me suis engueulé avec Aubin, j'ai pris les devants.
Je n'ai pas beaucoup d'ambition,
Je n'ai pas peur mais je me demande
Je n'arrive plus à la distraire
Je n'aurai pas de raisons de douter de lui.
Je ne comprends plus ce qui se passe.
Je ne me sens pas très bien.
Je ne pensais pas te rencontrer.
Je ne pense plus qu'à elle.
Je ne peux pas rester plus longtemps
Je ne peux pas, je ne peux pas.
Je ne pourrai pas vivre sans lui, j'en mourrai.
Je ne pourrai pas, ne pars pas, j'en mourrai.
Je ne puis l'acheter moi même.
Je ne reviendrai pas d'ici longtemps.
Je ne reviendrai pas d'ici longtemps.
Je ne sais pas si je serai encore de ce monde.
Je ne veux pas que cela
Je ne veux plus penser à Geneviève.
Je ne vis que pour elle.
Je ne vois pas en quoi je peux t'être utile
Je ne voudrais pas que cette démarche, car c'en est une,
Je ne voudrais, en aucune façon,
Je ne vous attendais plus. Vous pleurez ?
Je pensais que si tu voulais partager ma vie.
Je peux quitter ce monde sans regret.
Je puis vous faire un chèque ? Rien ne presse.
Je puis vous tirer de ce mauvais pas.
Je rentre à Paris et demain, je repars pour Londres.
Je suis allé au bout du monde.
Je suis si heureuse d'être avec toi.
Je suis venu vous demander la main de Geneviève.
Je suis vraiment très inquiète, Geneviève est triste.
Je t'assure, j'ai tout oublié.
Je t'attendrai toute ma vie.
Je te cacherai et je te garderai.
Je vais être tout seul.
Je vais fermer le magasin.
Je vais juste faire un tour avant le dîner.
Je vais sortir maintenant.
Je veux dire qu'il ne faut voir en moi qu'un désir
Je veux être heureux avec toi.
Je veux que tu saches que tout ce que j'ai t'appartiendra.
Je veux vous entretenir d'une idée que j'ai et qui m'occupe.
Je vous aime.
Je vous aime.
Je voyais l'heure passer et la couturière qui n'arrivait pas.
L'emmener au spectacle. Peut être.
L'intention de la gâcher.
La vie que nous menons est si triste pour une jeune fille.
Là, au moins, ça se verra.
La, la, la, la, la, la.
Le ciné, c'est mieux.
Le klaxon n'est pas un jeu.
Le notaire n'en finissait pas.
Les parapluies de Cherbourg.
Les permissions ont été suspendues et je ne sais pas
Les sentiments de Geneviève à votre égard.
Les trois soldats sont morts, je ne crois pas pourtant
Lorsqu'il me verra engrossée de la sorte ?
Madame Emery est restée à Cherbourg,
Madeleine te donnera de mes nouvelles.
Madeleine viendra pour ma piqûre.
Madeleine, Madeleine, ne pleure pas.
Maintenant je ris parce que je me rends compte,
Maintenant, tout est réglé.
Mais c'est étrange, le soleil et la mort
Mais c'est peut être mieux, je suis affreuse.
Mais ce soir, c'est sacré, je vais au théâtre.
Mais de quoi ?
Mais j'ai de lourdes charges et j'ai pensé...
Mais je pense que Pierre est libre.
Mais je sais ce qu'elle me répondra.
Mais je sais que toi, tu m'attendras.
Mais la vie me paraissait sans attrait.
Mais le temps arrange bien les choses.
Mais mon émotion n'a d'égale que ma timidité.
Mais mon métier comporte des risques et j'en prends assez.
Mais qu'est ce que tu as ?
Mais qu'est ce que tu as ?
Mais que puis je faire pour vous ?
Mais quel avenir t'offrait il ?
Mais si je pouvais réaliser ce rêve...
Mais tout cela est si difficile.
Mais un homme qui a vécu et que la vie a marqué.
Mais, mon amour, ne me quitte pas.
Mettez cette couronne.
Moi aussi, j'ai aimé, lutté.
Mon amour, je sais que tu m'attends.
Mon amour, je sais que tu m'attends.
Mon amour, mon amour... Tu n'as rien dit à ta mère ?
Mon amour, ne me laisse pas.
Mon amour...
Mon petit.
Monte à l'appartement.
Ne me regarde pas.
Ne nous permet pas, pour le moment du moins,
Ne vous effraie pas, mais ne la brusquez pas.
Non, je pensais qu'elle m'en voulait.
Nous avons même tout notre temps.
Nous ne savons rien de vous.
Nous nous marierons en cachette.
Nous pouvons bavarder encore un moment.
Nous sommes perdues.
Nous vendrons des parapluies.
Nous vivons si seules depuis la mort de mon mari.
Nous vivrons simplement
Nous voulons nous marier.
Oh là, qu'est ce que je vais entendre.
Oh, un mambo, viens.
On l'a envoyé, j'en suis sûre,
On ne meurt d'amour qu'au cinéma.
On ne tombe pas comme ça
On peut toujours écrire, aussi loin que l'on soit !
Ou alors, des jumeaux. Mais non, tout est normal.
Ou bien d'autres. M. Cassard est venu ce soir.
Où étais tu ?
Par un jeune homme qui n'était pas ton père.
Parce qu'il ne me verrait pas enceinte.
Payez vous.
Permettez moi de me présenter.
Pierre, est ce que tu peux rester ce soir ?
Plusieurs fois et qui m'aime.
Pourquoi Guy s'éloigne t il de moi ?
Pourquoi l'absence est elle
Pourquoi ne suis je pas morte ?
Pourquoi, tu attends donc toujours ?
Prendrez vous du thé ?
Puis elle a vendu le magasin.
Puis j'ai fait ce détour.
Puisque je n'ai aucune influence sur toi.
Puisque la situation dans laquelle elle se trouve
Puisse être mal interprétée.
Qu'allons nous faire ?
Qu'est ce que tu as, Geneviève ? Rien, je suis fatiguée.
Qu'est ce que tu as, tu pleures ?
Qu'est ce que tu fais ?
Qu'est ce que tu traficotes encore ?
Qu'est ce que tu vas faire, à présent ?
Qu'il me fallait du repos.
Quand je regarde cette photo, j'oublie jusqu'à son visage.
Quand tu reviendras,
Quant aux voisins, tu ne leur dis jamais rien.
Que je me vois contrainte de me défaire de ce bijou
Que je n'avais eu le plaisir.
Que je saurais me débrouiller.
Que l'on croise dans la rue.
Que tu sois revenu.
Quel âge a t il ?
Quel bonheur !
Quelle heure est il ?
Qui vous intéresse ?
Regarde.
Repose toi.
Risquerait de tout compromettre.
Roland Cassard !
Roland Cassard, diamantaire.
S'il me refuse telle que je suis,
Secrète, indépendante.
Ses lettres n'étaient plus les mêmes.
Si c'est un escroc, comme tu dis, nous nous défendrons mieux à deux.
Si je changeais de coiffure ?
Si je n'étais pas pour toi une lourde charge et que...
Si je reviendrai en France avant longtemps.
Si peu de temps, mon amour, qu'il ne faut pas le gâcher.
Si tu n'agis pas par désespoir.
Si tu veux, mon amour, après nous irons danser.
Si vous me permettez l'expression.
Si, Madeleine, tu le sais bien.
Si, par extraordinaire, il m'accepte,
Surtout lorsqu'il pleut.
Surtout, ne m'oublie pas.
Ta jambe te fait mal ?
Tenez, voilà l'argent que je vous ai promis.
Tiens, mets tout ça là bas, sur la table.
Toi, tu as l'air heureux.
Tout à fait.
Tout ce que nous allons faire.
Tout est prêt à la cuisine.
Tu as beaucoup changé.
Tu as les mains froides.
Tu comprends, j'ai eu si peur.
Tu es couchée ?
Tu es lasse, soit, mais tu n'es pas mourante.
Tu es triste ? Non.
Tu es trop loin de moi.
Tu le portes devant, ce sera un garçon.
Tu m'oublieras.
Tu me caches quelque chose ?
Tu me parles de lui comme tu me parles de tes parapluies.
Tu n'as pas changé.
Tu ne devines pas ?
Tu ne dis rien ?
Tu ne dis rien ? Que veux tu que je te dise ?
Tu ne dors pas ? Tu le vois bien.
Tu ne lui as pas dit que j'étais enceinte ?
Tu ne sais rien.
Tu ne te doutais de rien ?
Tu ne veux pas rester ici ?
Tu parles de l'amour, mais que sais tu de l'amour ?
Tu peux faire une heure, ce soir ?
Tu peux la lire.
Tu pleures ?
Tu sais, moi aussi, j'ai été courtisée autrefois
Tu sauras que moi, je ne pense qu'à toi.
Tu sens l'essence.
Tu t'y plaisais bien.
Tu trouveras des amis de ton âge.
Tu verras.
Tu verras.
Tu veux la voir ?
Tu vois bien que je réfléchis,
Un attentat à la grenade.
Un autre.
Un blanc sec.
Un mois ou deux.
Un souvenir qui nous aidera à vivre.
Une dame qui l'a élevé.
Une pure merveille. N'est ce pas ?
Viens avec moi, si tu veux.
Viens, mon amour.
Vois tu, Geneviève, si le magasin marchait mieux,
Voulez vous passer demain
Voulez vous venir dîner demain ?
Vous êtes mon roi.
Vous ne m'en voudrez pas.
Vous parler franchement.
Voyez vous, j'ignore quels sont
Y penser sans frémir.
85 000 F à payer avant le 15, tu trouves ça drôle ?
A demain.
A demain.
A mon mariage, je ne savais rien. Il n'y a pas de quoi se vanter.
A mon sujet ?
A persuader maman.
A quoi te servent ils, tu ne les regardes même pas.
A tout de suite.
Ah ! Je sais que je suis maladroit.
Ah, j'ai les joues en feu.
Ah, merde.
Ah, mon Dieu ! Geneviève ?
Allons donc. Après tout, il n'est pas si joli que ça.
Allons, mets la, Geneviève, puisqu'on te le demande.
Allons, rends toi utile, mon garçon.
Alors ? Alors quoi ?
Alors, il faut, tout de suite, choisir un roi.
Alors, je vous quitte. Je vous en prie.
Alors, pousse ta viande, tu vois bien que tu gênes.
Alors, reste tranquille.
Alors, vends le magasin. Sotte !
As tu fait le niveau d'huile ? Evidemment.
As tu resserré le bouchon ? Mais ouais !
Assieds toi.
Au citron.
Au revoir, Guy.
Au revoir, Jenny.
Au revoir.
Aubin avait promis de te reprendre au garage.
Aubin, tout à l'heure, m'a demandé de faire une heure de plus.
Avec Guy.
Avec une jeune fille. Que tu aimes ?
Avoue que tu es contente.
Ben, c'est comme vous voudrez. Super ?
Ben, qu'est ce qui te prend ? Je quitte la boîte.
Bien entendu, il n'a pas fait son régiment.
Bien sûr, elle va déjà mieux.
Bien sûr.
Bonjour, M. Dubourg.
Bonjour, Madeleine.
Bonjour, Mme Emery, bonjour, Mlle Geneviève.
Bonsoir, Guy.
Bonsoir, M. Cassard.
Bonsoir, ma chérie.
Bonsoir, Madeleine.
Bonsoir, maman.
Bonsoir, Mme Germaine.
Bonsoir, mon garçon.
Bonsoir, tante Elise.
Bonsoir, tante Elise.
Bonsoir.
Bonsoir.
Bonsoir.
C'est abominable.
C'est bien plus simple. Plus simple que quoi ?
C'est drôle, l'absence...
C'est encore heureux. Mais j'irai.
C'est épouvantable. Enceinte de Guy ?
C'est grave, n'est ce pas ?
C'est la caverne d'Ali Baba.
C'est malin.
C'est parce qu'il te protègera, Geneviève.
C'est peut être un escroc ? Il t'aura fait marcher.
C'est pour toi.
C'est toi qui as fait la station de monsieur ?
C'est toi, Guy ?
C'est très beau. Tu trouves ?
C'est un jeune homme que j'ai rencontré
C'est un parfum comme un autre.
C'est une pierre de taille.
C'est vrai ?
Ça ne te regarde pas.
Ça ne va pas, mon petit chou ?
Ça se pourrait.
Ça se voit ? Oui.
Calme toi, il nous reste si peu de temps.
Ce n'est pas avec ce que tu m'as dit
Ce n'est pas honteux de vouloir se marier.
Ce n'est pas la lassitude qui m'attriste, mais le silence.
Ce n'est pas ma faute, depuis que je suis revenu,
Ce n'est pas un coureur de jupons, un de ces beaux parleurs qui rôde,
Ce n'est pas une raison pour faire cette tête.
Ce n'est pas vrai.
Ce n'est rien, il y a des moments où je n'ai pas le courage
Ce n'est rien.
Ce soir, ça m'est difficile,
CIAO !
Comme ça.
Comment l'as tu appelée ?
Comment se fait il qu'il ne soit pas encore venu ?
Comment vont les jambes ?
Comment, quoi faire ?
Couvre toi bien.
D'ailleurs, il est sûrement faux.
Dans sa dernière lettre, il me disait qu'il était triste
De cet enfant. Mais, l'élever.
Depuis le début de ce repas,
Depuis ton retour, tu te fous de ton travail.
Des trucs ?
Deux ans, non, je ne pourrai pas.
Dis donc, hé, alors quoi ! Ça va, laisse tomber.
Dis moi la vérité.
Dis plutôt que tu n'aimes pas la solitude.
Elise est morte,
Elle accepte.
Elle n'est pas encore mariée ?
Elle va venir.
Elle voulait sortir, je ne voulais pas.
Embrasse moi, au moins.
En effet, Geneviève s'est beaucoup surmenée,
En rentrant, un soir de manoeuvres,
Est ce que je fais le plein pour madame ?
Est ce que tu viens avec moi ce soir au volley ?
Et maintenant, qu'est ce que tu vas faire ?
Et nous resterons amoureux.
Et qu'allons nous dire ? Dire quoi, à qui ?
Et si c'est un garçon ? Ce sera une fille.
Et si tu ne paies pas ? On nous saisira.
Et ton collier ?
Et tu t'imagines que nous serons assez futées ?
Etes vous fixé sur le genre d'article
Excuse moi, Madeleine.
Excusez moi, mais ce bijou m'intéresse.
Fais ce que tu veux.
Fiche moi la paix avec ce type.
Foucher !
Foucher !
Foucher ! Foucher !
Françoise, reste tranquille.
Françoise.
Geneviève ?
Geneviève, à table, ma chérie !
Geneviève, ma petite Geneviève.
Geneviève, montre les parapluies à monsieur.
Geneviève, quel langage ! Déformée, boursouflée.
Geneviève...
Guy, je t'aime, ne me quitte pas.
Guy, je t'aime, ô Guy, je t'aime.
Guy, je t'aime.
Guy, ou un autre.
Il est si sympathique, nous avons parlé plus d'une heure, ce matin.
Il fait meilleur ici.
Il m'a ordonné des potions.
Il me semble que rien ne presse.
Il n'est pas riche.
Il n'y a pas de mais, j'ai bien vécu, tu sais.
Il n'y avait rien, que des factures.
Il ne faut pas que tu te fâches,
Il ne pense plus à toi ou bien il t'écrirait.
Il t'a oubliée.
J'ai eu un mal fou. A quoi faire ?
J'ai fini.
J'ai hésité longtemps,
J'ai peur.
J'ai tellement peur quand je suis seule.
J'aime pas l'opéra.
J'appellerai ma fille Françoise.
J'avais tellement peur de ne pas te trouver.
Je crois que tu peux partir.
Je fais ce qui me plaît.
Je le serais davantage si cet enfant avait un père
Je m'éloigne de toi,
Je me sens très bien.
Je n'accuse personne, mais le fait est là, je suis navré.
Je n'ai pas à m'excuser.
Je n'ai pas beaucoup de temps.
Je n'ai pas cet argent sur moi.
Je n'ai pas osé le lui dire.
Je n'aime pas ce que tu es devenu.
Je n'hésiterais pas à rester.
Je ne crois pas que je puisse t'aider.
Je ne me sens pas très bien.
Je ne penserai qu'à toi.
Je ne peux pas.
Je ne sais pas, aux voisins, aux amis.
Je ne sais pas, mais reste là. Je ne peux pas.
Je ne sais pas. Tu n'as pas de famille.
Je ne sais que vous dire.
Je ne sais si je dois.
Je ne suis pas seule, j'ai mes livres.
Je ne te quitterai pas.
Je ne verrai rien du tout. Mais maman !
Je ne voudrais pas être ridicule,
Je ne voudrais pas, maman, te manquer de respect.
Je ne voulais pas, je pensais que tu savais.
Je rencontrerai la mort avant toi.
Je sais, ma chérie, je sais.
Je sais, maman, ne me fais pas l'article.
Je sors ce soir. Seul ?
Je suis allée avec lui au théâtre, hier soir.
Je suis contente
Je suis enceinte, maman.
Je suis honteuse et en même temps ravie.
Je suis très fier de toi.
Je suis un peu en retard.
Je t'aime, Guy.
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
Je t'aime, je t'aime...
Je t'aime.
Je t'aime.
Je t'écoute.
Je t'interdis de revoir ce garçon, reste là.
Je te le demande.
Je travaillerai. Quel genre de travail ?
Je travaillerai. Quel genre de travail ?
Je trouve ces gens ridicules.
Je vais me retirer.
Je veux bien essayer.
Je viens de voir passer mademoiselle Geneviève.
Je voulais te dire, enfin,
Je vous comprends, chère madame,
Jenny...
L'amour est enfant de bohème, la, la, la, la, la !
La même chose.
La parure
La séparation est cruelle, en effet.
La situation dans laquelle nous nous débattons
Laisse moi tranquille.
Le facteur est il passé ?
Le marchand de couleurs ? C'est la porte à côté !
Le patron te demande.
Le petit voudrait voir les vitrines de jouets.
Le régiment n'est pas la guerre.
Ma petite fille, tu es folle.
Ma petite fille, tu es folle.
Madame.
Mademoiselle...
Magnifique, alors tu m'as menti !
Mais comment est ce arrivé ?
Mais enfin, Elise.
Mais enfin, maman,
Mais Guy reviendra.
Mais j'ai faim.
Mais j'y pense, maman, j'y pense.
Mais je ne peux pas accepter.
Mais je ne pourrai jamais vivre sans toi.
Mais je suis stupéfaite.
Mais monsieur... Non, rassurez vous, madame.
Mais ne me dites rien.
Mais non, monsieur, je m'attendais si peu à cela.
Mais non.
Mais non.
Mais où vas tu aller ?
Mais, ma petite fille, il n'est pas question de te marier.
Maman, quand je lui ai dit que j'allais au théâtre avec Cécile,
Maman...
Mange un fruit.
Merci, Geneviève.
Merci.
Merci.
Mon amour, il faudra pourtant que je parte.
Mon amour...
Mon amour...
Mon amour...
Mon collier, tu crois ?
Monsieur a coulé deux bielles ce matin.
Monte à l'appartement, il est temps
N'importe quoi.
N'insiste pas, maman.
N'insiste pas, obéis moi.
Ne dis pas de bêtises.
Ne fume pas, sois raisonnable.
Ne pleure pas, je t'en supplie.
Ne pourriez vous, au moins, m'avancer ?
Ne sois pas amère, ma chérie.
Ne suis je pas venu pour vous aider ?
Ne t'en va pas, je ne veux pas que tu sortes.
Ne t'inquiète pas pour ma vie, maman.
Ne vous moquez pas de moi.
Non, c'est impossible, je dois partir ce soir.
Non, c'est ma femme.
Non, c'est ma femme.
Non, Geneviève est partie le soir de son mariage.
Non, je ne peux pas. Et toi, est ce que tu y vas ?
Non, mais tu dois quand même y penser.
Non, rien.
Non, si je vendais mes bijoux,
Non, tu es très jolie comme ça.
Non, tu te trompes tout à fait.
Non, un peu, enfin, tu comprends.
Nous achèterons une station service.
Nous aurons des enfants.
Nous élèverons cet enfant ensemble.
Nous n'avons pas d'amis.
Nous ne nous sommes, pour ainsi dire, jamais quittées.
Nous nous retrouverons et nous serons plus forts.
Nous sommes dans une situation difficile.
Nous venons d'avoir une scène terrible à votre sujet.
Oh, tu sais, maintenant, ça n'a plus d'importance.
Où ça ? Là.
Où étais tu ?
Ouch !
Oui, je l'aime.
Oui, le moteur cliquette encore un peu à froid, mais c'est normal.
Oui, le plein. Super ou ordinaire ?
Oui, très bien.
Oui.
Oui.
Oui.
Parle moi sur un autre ton, et fais des excuses à monsieur.
Pas du tout, mais c'est un tel bonheur.
Pas encore. Pourquoi ? Tu es lâche.
Pauvre Elise, il ne restera rien d'elle.
Peu importe.
Peut être avez vous besoin de repos ?
Pour moi ? Pour nous.
Pour quoi faire ? Pour m'aider.
Pourquoi ? Parce que !
Pourquoi n'iriez vous pas vivre à la campagne ?
Pourquoi ne m'as tu rien dit ?
Pourquoi, quelle idée ?
Qu'as tu fait ?
Qu'est ce que c'est ? C'est une surprise.
Qu'est ce que c'est que ça ?
Qu'est ce que tu cherches ? Rien.
Quelle beauté.
Qui ça ?
Quoi ?
Quoi ?
Rassure toi, comme tout le monde.
Reste tranquille
Reste, ne pars pas, je t'en supplie.
Reviens quand tu veux.
Rien, je vous l'ai dit. Nous ne pouvons rien !
Rien, maman.
Si c'est ça, j'irai travailler ailleurs !
Si je savais où il se trouve, je pourrais lui écrire.
Si je te demandais d'essayer malgré tout...
Si on ne peut plus faire d'esprit, ma petite, tu es perdue !
Si tu l'aimes encore à son retour,
Si tu veux.
Si, bien sûr, les derniers mois,
Si, ça me regarde.
Si, moi.
Si, si, je t'assure, je suis très maladroite.
Station complète, le 26, n'est ce pas, monsieur ?
Tiens, regarde.
Tiens. Qu'est ce que c'est ?
Toi, on peut dire
Toi, tu vas me dire que je te rappelle quelqu'un.
Toute blanche, avec un bureau, tu verras.
Travailler ou peut être vivre avec ma pension.
Très bien, mon garçon.
Trois fois rien.
Tu as raison, mais tu comprends,
Tu as tort, il représente pour moi, le genre d'homme...
Tu as une pauvre figure.
Tu aurais mieux fait de l'épouser.
Tu comprends, maman, si je me marie,
Tu connaîtras d'autres femmes.
Tu déraisonnes, n'est ce pas Madeleine ?
Tu déraisonnes, n'est ce pas Madeleine ?
Tu diras bonjour pour moi au père Noël.
Tu dis n'importe quoi !
Tu divagues.
Tu es comme moi, j'étais ravie, jamais malade.
Tu es en deuil ? Maman est morte à l'automne.
Tu es heureux ? Très heureux.
Tu es livide. Merci.
Tu m'aimes ?
Tu manges ? Que veux tu ? J'ai toujours faim.
Tu n'as besoin de personne.
Tu n'as pas besoin de lui dire. Tais toi.
Tu n'avais pas besoin de voir un médecin pour ça.
Tu ne vas pas recommencer.
Tu parais bien dissipé.
Tu peux m'appeler, Geneviève, si tu veux.
Tu resteras là !
Tu sais bien que ce n'est pas possible.
Tu sais comme elle est sage.
Tu sais,
Tu vas te couper l'appétit.
Tu veux quelque chose ?
Tu viens danser ?
Tu vois, je traîne un peu la patte.
Un cognac.
Un homme qui traîne, un désoeuvré.
Un jour, un homme se présente, riche, distingué, épris de toi.
Un machin ?
Un parapluie. Un parapluie ?
Un peu ici.
Une carte de Hambourg, c'est Roland Cassard qui l'envoie.
Une façon comment ?
Une femme enceinte est toujours belle, ma chérie.
Vends tes bijoux. Jamais !
Viens au bureau.
Viens.
Vivre de mes rentes.
Voici quelques rubis, saphirs, émeraudes.
Vous désirez ?
Vous êtes tous les mêmes, avec vos gros billets.
Vous n'avez pas de monnaie ? Non.
Vous ne pouvez donc pas vivre l'une sans l'autre ?
Vous permettez ? Je vous en prie.
Vous ressemblez, mademoiselle,